Les éléphants africains font toujours face à de graves menaces, selon CITES
Les éléphants africains font toujours face à de graves menaces, selon CITES
28 juillet 2016 – Beaucoup d'éléphants africains continuent de faire face à de graves menaces pour leur survie en raison du commerce illégal de l'ivoire et de niveaux inacceptables de braconnage, a déclaré jeudi le Secrétariat de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES).
« Il y a des signes encourageants », mais « il reste encore beaucoup à faire », a déclaré John E. Scanlon, Secrétaire général de la CITES dans un communiqué de presse.
« L'élan généré au cours des cinq dernières années s'est traduit par des efforts plus importants pour lutter contre le braconnage et le trafic illicite sur le terrain, où cela est le plus nécessaire, de part des employés des parcs naturels, des policiers et des agents des douanes » a-t-il ajouté.
Les deux programmes de surveillance de la CITES, le Système d'information sur le commerce des éléphants (ETIS) et le Suivi de l'abattage illégal d'éléphants (MIKE), présenteront leurs rapports, qui contiennent ces résultats, à la 17e session de la Conférence des Parties (CITES CoP17) en septembre.
Malgré un début de stabilisation du braconnage ainsi qu'une stabilisation ou une légère baisse des niveaux d'abattage illégal d'éléphants, les rapports indiquent que le braconnage reste beaucoup trop élevé pour permettre aux populations d'éléphants de récupérer, avec quelques populations confrontées à un risque d'extinction locale.
Bien que les tendances générales soient bien orientées, le braconnage des éléphants en 2015 reste une source de grave préoccupation, a souligné M. Scanlon.
Le rapport de l'ETIS fait des suggestions pour améliorer la situation, notamment un renforcement du processus d'identification de l'origine de l'ivoire et l'établissement d'inventaires détaillés du contenu des saisies.
Les niveaux les plus graves de braconnage ont, à nouveau, été enregistrés en Afrique du Centre et de l'Ouest, où le nombre d'abattages illégaux continue à dépasser le nombre de morts naturelles.
« Les gouvernements doivent continuer à accroître leurs efforts à travers la chaîne d'approvisionnement illégale de l'ivoire, tandis que les organismes internationaux et la société civile doivent renforcer leur soutien indispensable si nous voulons inverser les tendances dévastatrices du braconnage au cours de la dernière décennie », a déclaré M. Scanlon.
28 juillet 2016 – Beaucoup d'éléphants africains continuent de faire face à de graves menaces pour leur survie en raison du commerce illégal de l'ivoire et de niveaux inacceptables de braconnage, a déclaré jeudi le Secrétariat de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES).
« Il y a des signes encourageants », mais « il reste encore beaucoup à faire », a déclaré John E. Scanlon, Secrétaire général de la CITES dans un communiqué de presse.
« L'élan généré au cours des cinq dernières années s'est traduit par des efforts plus importants pour lutter contre le braconnage et le trafic illicite sur le terrain, où cela est le plus nécessaire, de part des employés des parcs naturels, des policiers et des agents des douanes » a-t-il ajouté.
Les deux programmes de surveillance de la CITES, le Système d'information sur le commerce des éléphants (ETIS) et le Suivi de l'abattage illégal d'éléphants (MIKE), présenteront leurs rapports, qui contiennent ces résultats, à la 17e session de la Conférence des Parties (CITES CoP17) en septembre.
Malgré un début de stabilisation du braconnage ainsi qu'une stabilisation ou une légère baisse des niveaux d'abattage illégal d'éléphants, les rapports indiquent que le braconnage reste beaucoup trop élevé pour permettre aux populations d'éléphants de récupérer, avec quelques populations confrontées à un risque d'extinction locale.
Bien que les tendances générales soient bien orientées, le braconnage des éléphants en 2015 reste une source de grave préoccupation, a souligné M. Scanlon.
Le rapport de l'ETIS fait des suggestions pour améliorer la situation, notamment un renforcement du processus d'identification de l'origine de l'ivoire et l'établissement d'inventaires détaillés du contenu des saisies.
Les niveaux les plus graves de braconnage ont, à nouveau, été enregistrés en Afrique du Centre et de l'Ouest, où le nombre d'abattages illégaux continue à dépasser le nombre de morts naturelles.
« Les gouvernements doivent continuer à accroître leurs efforts à travers la chaîne d'approvisionnement illégale de l'ivoire, tandis que les organismes internationaux et la société civile doivent renforcer leur soutien indispensable si nous voulons inverser les tendances dévastatrices du braconnage au cours de la dernière décennie », a déclaré M. Scanlon.
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