Herpès : la moitié de la population mondiale est porteuse du virus, selon l'OMS
Herpès : la moitié de la population mondiale est porteuse du virus, selon l'OMS
28 octobre 2015 – Plus de 3,7 milliards de personnes de moins de 50 ans, soit la moitié de la population mondiale, sont infectées par le virus Herpès simplex de type 1 (HSV-1), à l'origine des boutons de fièvre, indique un nouveau rapport de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), rendu public mercredi.
Le rapport rappelle qu'il existe deux types d'herpès : le virus Herpès simplex de type 1 (HSV-1) et le virus Herpès simplex de type 2 (HSV-2).
« Tous deux sont très contagieux et incurable », précise l'agence de l'ONU dans un communiqué de presse annonçant les résultats préliminaires de l'étude.
Le HSV-2 est une infection sexuellement transmissible à l'origine de l'herpès génital. Il se transmet principalement au cours des rapports sexuels et par contact cutané. L'herpès génital de type HSV-2 toucherait environ 417 millions d'individus dans le monde, selon le rapport de l'OMS.
Le HSV-1 se transmet principalement par contact muqueux et provoque l'herpès labial ou « bouton de fièvre ». Les nouvelles estimations de l'OMS démontrent cependant que le HSV-1 est également une cause importante de l'herpès génital.
Environ 140 millions de personnes âgées entre 15 et 49 ans sont infectées par l'herpès génital de type HSV-1, principalement sur le continent américain, en Europe et dans le Pacifique occidental, précise le rapport.
Moins de personnes dans les pays à revenu élevé sont infectées par le HSV-1 dans leur enfance, probablement en raison d'une meilleure hygiène vie, indique par ailleurs le rapport. Elles sont en revanche plus à risque de contracter l'herpès labial en pratiquant le sexe oral une fois devenues sexuellement actives.
« Un meilleur accès à l'éducation et à l'information concernant les deux types d'herpès et les infections sexuellement transmissibles est essentiel pour protéger la santé des jeunes avant qu'ils ne deviennent sexuellement actifs », a expliqué Dr Marleen Temmerman, Directrice du Département Santé et recherche génésiques de l'OMS.
Etant donné l'absence de traitement efficace, l'OMS a déclaré tout mettre en œuvre avec ses partenaires pour accélérer le développement de vaccins et des microbicides topiques contre cette maladie infectieuse.
28 octobre 2015 – Plus de 3,7 milliards de personnes de moins de 50 ans, soit la moitié de la population mondiale, sont infectées par le virus Herpès simplex de type 1 (HSV-1), à l'origine des boutons de fièvre, indique un nouveau rapport de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), rendu public mercredi.
Le rapport rappelle qu'il existe deux types d'herpès : le virus Herpès simplex de type 1 (HSV-1) et le virus Herpès simplex de type 2 (HSV-2).
« Tous deux sont très contagieux et incurable », précise l'agence de l'ONU dans un communiqué de presse annonçant les résultats préliminaires de l'étude.
Le HSV-2 est une infection sexuellement transmissible à l'origine de l'herpès génital. Il se transmet principalement au cours des rapports sexuels et par contact cutané. L'herpès génital de type HSV-2 toucherait environ 417 millions d'individus dans le monde, selon le rapport de l'OMS.
Le HSV-1 se transmet principalement par contact muqueux et provoque l'herpès labial ou « bouton de fièvre ». Les nouvelles estimations de l'OMS démontrent cependant que le HSV-1 est également une cause importante de l'herpès génital.
Environ 140 millions de personnes âgées entre 15 et 49 ans sont infectées par l'herpès génital de type HSV-1, principalement sur le continent américain, en Europe et dans le Pacifique occidental, précise le rapport.
Moins de personnes dans les pays à revenu élevé sont infectées par le HSV-1 dans leur enfance, probablement en raison d'une meilleure hygiène vie, indique par ailleurs le rapport. Elles sont en revanche plus à risque de contracter l'herpès labial en pratiquant le sexe oral une fois devenues sexuellement actives.
« Un meilleur accès à l'éducation et à l'information concernant les deux types d'herpès et les infections sexuellement transmissibles est essentiel pour protéger la santé des jeunes avant qu'ils ne deviennent sexuellement actifs », a expliqué Dr Marleen Temmerman, Directrice du Département Santé et recherche génésiques de l'OMS.
Etant donné l'absence de traitement efficace, l'OMS a déclaré tout mettre en œuvre avec ses partenaires pour accélérer le développement de vaccins et des microbicides topiques contre cette maladie infectieuse.
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