L'ONU condamne l'assassinat d'un garde-frontière iranien enlevé en février
L'ONU condamne l'assassinat d'un garde-frontière iranien enlevé en février
26 mars 2014 – Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a condamné l'assassinat de l'un des cinq garde-frontières iraniens qui avaient été enlevés par un groupe militant le 6 février dans la zone frontalière au sud-est de l'Iran.
« Il exprime sa solidarité avec le gouvernement et le peuple d'Iran, qui sont confrontés à cet acte choquant en pleines célébrations de Norouz », le nouvel an du calendrier iranien, a dit le porte-parole de Ban Ki-moon, dans une déclaration à la presse publiée mardi soir.
« Le Secrétaire général adresse ses condoléances à la famille du garde-frontière égorgé. Il appelle à traduire en justice les responsables. Il souhaite que les efforts actuels par le gouvernement d'Iran pour obtenir la libération de ceux qui restent enlevés soient couronnés de succès », a-t-il ajouté.
Selon la presse, les garde-frontières avaient été enlevés alors qu'ils patrouillaient dans la zone frontalière avec le Pakistan. Un groupe rebelle sunnite musulman de la province du Sistan-Balouchistan avait ensuite revendiqué cet enlèvement.
26 mars 2014 – Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a condamné l'assassinat de l'un des cinq garde-frontières iraniens qui avaient été enlevés par un groupe militant le 6 février dans la zone frontalière au sud-est de l'Iran.
« Il exprime sa solidarité avec le gouvernement et le peuple d'Iran, qui sont confrontés à cet acte choquant en pleines célébrations de Norouz », le nouvel an du calendrier iranien, a dit le porte-parole de Ban Ki-moon, dans une déclaration à la presse publiée mardi soir.
« Le Secrétaire général adresse ses condoléances à la famille du garde-frontière égorgé. Il appelle à traduire en justice les responsables. Il souhaite que les efforts actuels par le gouvernement d'Iran pour obtenir la libération de ceux qui restent enlevés soient couronnés de succès », a-t-il ajouté.
Selon la presse, les garde-frontières avaient été enlevés alors qu'ils patrouillaient dans la zone frontalière avec le Pakistan. Un groupe rebelle sunnite musulman de la province du Sistan-Balouchistan avait ensuite revendiqué cet enlèvement.
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