Soudan du Sud : le chef de l'ONU demande aux belligérants de cesser les hostilités
Soudan du Sud : le chef de l'ONU demande aux belligérants de cesser les hostilités
29 avril 2017 – Le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est déclaré troublé samedi par l'escalade de la violence et des souffrances des civils au Soudan du Sud à la suite de la récente offensive gouvernementale.
“Nous demandons instamment au gouvernement et aux autres parties belligérantes de cesser les hostilités, de protéger les civils et de coopérer avec les Nations Unies et d'autres acteurs humanitaires afin d'assurer un accès sûr à tous les civils en danger imminent le long de la rive ouest du Nil”, a dit le porte-parole du Secrétaire général dans une déclaration à la presse.
“La recrudescence des combats constitue un mépris flagrant et sans pitié des promesses faites lors du Sommet de l'IGAD (Autorité intergouvernementale pour le développement) du 25 mars 2017 concernant la mise en œuvre d'un cessez-le-feu et la facilitation de l'accès humanitaire”, a-t-il ajouté.
Le chef de l'ONU a rappelé qu'il n'y avait pas de solution militaire à la crise au Soudan du Sud.
“Nous espérons que les partenaires régionaux et internationaux se joindront à nous pour encourager les parties à revenir rapidement à la table des négociations et nous nous engageons à travailler avec l'Union africaine et l'IGAD pour garantir un règlement pacifique du conflit”, a dit son porte-parole.
29 avril 2017 – Le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est déclaré troublé samedi par l'escalade de la violence et des souffrances des civils au Soudan du Sud à la suite de la récente offensive gouvernementale.
“Nous demandons instamment au gouvernement et aux autres parties belligérantes de cesser les hostilités, de protéger les civils et de coopérer avec les Nations Unies et d'autres acteurs humanitaires afin d'assurer un accès sûr à tous les civils en danger imminent le long de la rive ouest du Nil”, a dit le porte-parole du Secrétaire général dans une déclaration à la presse.
“La recrudescence des combats constitue un mépris flagrant et sans pitié des promesses faites lors du Sommet de l'IGAD (Autorité intergouvernementale pour le développement) du 25 mars 2017 concernant la mise en œuvre d'un cessez-le-feu et la facilitation de l'accès humanitaire”, a-t-il ajouté.
Le chef de l'ONU a rappelé qu'il n'y avait pas de solution militaire à la crise au Soudan du Sud.
“Nous espérons que les partenaires régionaux et internationaux se joindront à nous pour encourager les parties à revenir rapidement à la table des négociations et nous nous engageons à travailler avec l'Union africaine et l'IGAD pour garantir un règlement pacifique du conflit”, a dit son porte-parole.
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